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 Il pleut sur la ville

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MessageSujet: Il pleut sur la ville   Il pleut sur la ville EmptyJeu 14 Jan - 1:35


❝ TITRE DU RP ❞
Retrouvons Jackson Mac Cohan et Alberto Falcone , alors que l'horloge affiche 00h30 . Leurs routes se sont croisées quelque part dans les docks.  et ils // sont à l'abri d'une intervention du Doppelganger.



La pluie, tombait à grande eau sur Gotham. Une pluie faite de grosse gouttes, de celle qui font un bruit d'enfer sur les vitres. Comme si le ciel lui même avait décider de laver la ville.
Le détective Jackson trouvait cette idée pour le moins saugrenue, comme si quelques trombes de flotte allait changer quoique ce soit dans cette fichue ville, qui depuis 5 ans avait complètement perdu la tête.
Mac Cohan se frotta les yeux, voila trois longues heures qu'il planquait devant un entrepôt, soit disant désaffecté.
Selon les informations qu'il avait récupérer de façon fort sympathique, auprès d'un consciencieux citoyen de gotham, l'entrepôt en question, servait de base d'opération, a un tout jeune gang, les Hurleur marins. Ceux-ci avait récemment gagné en pouvoir et en force, ils vendaient maintenant de la dope.
Jackson repensa à ce que lui avait dis le petit dealer du centre, entre deux hurlements, ( il faut dire que lorsqu'un type de 1.80m armé d'un clef a molette entreprend de vous éclater tranquillement tout les os de la mains ça a tendance à rendre bavard)  il avait lâché un nom : Falcone. Ce nom avait pour fâcheuse tendance a rendre la plus part des flics nerveux voir même froussard. Mais bon Jackson n'était pas vraiment du genre à avoir peur d'un nom.
Durant sa planque, l'inspecteur du GCPD avait fait fonctionner, sa "petite machine à intuition". Recoupant informations et témoignages. Selon toute vraisemblance, ces types avaient commencer leur petit trafique sans l'accord, de la famille Falcone, et ce n'était pas dans le genre des mafieux de se laisser faire. Il y aurait des représailles, pour faire rentrer le gang dans le rang, et sûrement le plus probable, le gang se ferait éliminer dans une fusillade sanglante.
Ce sombre tableau ne convenait pas du tout à l'officier. Non pas qu'il s'inquiète du sort des gangers ou des hommes de Falcone, non. Mais dans ce genre de cas on à toujours des civils qui trinquent, des passants, des gens qui n'ont rien a voir avec tout le merdier et qui prennent quand même.

Il fallait donc supprimer un élément de cette équation explosives, et comme faire tomber les Falcone, revient à perde du temps. l'officier Mac Cohan avait tout naturellement choisit de rentre une petite visite "amicale" aux Hurleurs marins, durant cette petite visite il comptait bien trouver des preuves accablantes, avec les quelles ils enverrait tout ce petit monde, au frais pour un moment. Et puis bon, de son point de vue, les Falcones avaient eux un code, des règles. Pas comme tout ces petits merdeux, qui se prennent pour des durs, juste parce qu'ils ont un flingue.

Jackson repéra un étrange ballet de caisses que l'on déchargeait. Il était temps pour lui de passer à l'action.
Il descendit de sa voiture, vérifia que son 44 était bien chargé, arma le fusil à pompe et se glissa derrière l'entrepôt. Il repéra rapidement deux types occupés à fumer une clope non loin d'une porte de sortie, ne leur laissa pas le temps de dire quoique ce soit , Jackson les envoya faire un petit somme.
D'un coup de crosse il fit sauter le cadenas de la porte, et se glissa à l'intérieur du bâtiment. Il progressa rapidement dans les couloirs mal éclairés. Il arriva enfin dans une grande salle, ou s'affairait une dizaine de gars, tous armés. Au vu de l'équipement ce devait être un de ces fameux laboratoire de crystal meth. Jackson recula de quelque pas et sortis son vieux téléphone portable, il composa rapidement le numéro du central:

-"ici le détective, Mac Cohan, je me trouve dans l'entrepôt numéro 16 au coin de la 12em et harvet street. Le bâtiment sert de laboratoire de crystal. J'ai besoin de renfort."
-"reçut détective, on vous envoie du monde mais ça va prendre un peu de temps."

L'officier raccrocha et pénétra dans la grande salle. Dès qu'il fut en pleine lumière, Jackson ouvris le feu, deux fois, visant les épaules des malfrats les plus proches. Les deux hommes s'écroulèrent en beuglant. Braquant les autres, Mac Cohan Hurla :
-"GCPD, tout le monde part terre, je vous prévient les mecs je ne suis pas du genre tendre et le premier qui joue au mariolle, je l'envoi direct rencontrer le juge suprême"
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MessageSujet: Re: Il pleut sur la ville   Il pleut sur la ville EmptyJeu 14 Jan - 11:26

"Tu en es absolument sur, Grazzie ?"

L'homme de main acquiesçât à ma question. Apparemment, la mort de D-Bone avait fait sortir les chiens des terriers, et tous commençaient à prendre part dans ce nouveau marché de la drogue. Avec un sourire, je me rend compte que toute chose a une suite logique, que tout est forcément écrit et que la moindre action peut entrainer des conséquences parfois bien inattendues. Je repose mon verre avant de fixer mon homme de main, avant de lui donner mes ordres. Bien sur, j'avais embauché quelques gars pour m'assister, des mercenaires à Gotham City, des gens que je paie bien, des gens qui connaissaient leur boulot, et qui savaient montrer la loyauté tant que je pouvais les payer. Mais la loyauté a souvent son prix, et dans cette ville, on peut être trahi pour moins que ça. Il fallait que je reste sur mes gardes. J'ordonne à Grazzie de contacter les hommes, qu'ils soient prêts pour un nettoyage. Ils comprendraient l'allusion. Un gang répondant au nom de "Hurleurs marins" était sorti des égouts de cette fange qu'on appelait ville pour se permettre de s'en prendre à mon business, à mon business et à celui des Falcone. Il n'en fallait pas longtemps pour les retracer. Ces imbéciles ont vendu eux-mêmes leurs activités rien qu'avec un nom aussi ridicule. Quand on te dit "Hurleurs marins", la seule planque que tu puisses trouver, c'est les docks ou quelque chose en rapport avec la mer. Mais quand je te dis "Falcone", là, on en arrive à du génie dans la cargaison. On en arrive à tout pour faire passer la came dans cette ville, et contrairement aux autres ratés, mon père savait faire venir la meilleure came. On sort, et Grazzie prend la bagnole. D'après mes dernières indications, on sait où est leur laboratoire, on sait où ils se planquent, et on sait ce qu'on va faire. Il faut une bonne vingtaine de minutes pour arriver sur les docks. Il pleut, il pleut sur ma ville. Gotham City subit ce nettoyage par le ciel, comme pour nettoyer la merde qui sévit dans cette ville, comme pour nettoyer la pisse et la merde qui nous entourent tous. Putain de ville qui voit les caniveaux et les rues se déverser en sang, des torrents de sang qui flétrissent les pierres de la ville. Là où mon père à bâti son empire pour devenir l'empereur de Gotham : Le Romain. Mais laissons le passé là où il était, reprenons du poil de la bête dans le présent, pour devenir le prochain César de la ville de Gotham.
On arrive aux quais, et les mercenaires sont déjà là. Ils sont cinq, lourdement armés, prêts à faire le travail, prêts à nettoyer. Je sors une clope que je porte à ma bouche et le briquet dans ma main l'allume. D'un regard, je donne mon accord, Grazzie s'occupera de la supervision de l'affaire. Pour voir si les choses se passent comme prévues. Après tout, on n'est jamais entièrement satisfait d'un travail de ses sous-traitants quand on employait des gens étrangers à vos guerres, au moins, ils connaissaient leur mode opératoire. Et dans le milieu, quand un employeur se trouvait satisfait des services d'un groupe de mercenaires, il pouvait offrir leurs services à d'autres employeurs, le mot se répandait et par la suite, tout se passait bien si les contrats étaient biens remplis. Le groupe d'homme partis, je m'autorise à écouter la douce symphonie du prochain massacre. Dans le bâtiment, le massacre avait déjà commencé quand un petit flic s'en était prit au gang, malheureusement pour lui, les mercenaires arrivèrent au moment où celui-ci faisait ses présentations au gang des Hurleurs Marins. Les mercenaires tirèrent sur tout le monde dans le laboratoire, sauf sur le flic. Si tu tues un flic, tu deviens une cible à Gotham, et dans le milieu, on a pas besoin d'avoir ce genre de casseroles, sauf si tout était désespéré. Les criminels avaient quelques principes, surtout dans la mafia Gothamite. Le flic serait épargné, mais il serait sévèrement entouré par la suite. Un vacarme monstre se fit entendre, des tirs, des morts, du sang qui gicle, telle était la loi à Gotham City. Grazzie lui, pointait son arme sur le jeune flic. Grazzie tenait en joue le flic du GCPD, et savait parfaitement que rien ne devait lui être fait, mais pour les autres, c'était un véritable massacre, une orgie de feu et de sang qui se déroulait dans le laboratoire. Les corps chutaient, les produits chimiques se renversaient, il ne manquait qu'une allumette pour mettre fin à tout cela. Alors que le vacarme se tait, et que les cadavres jonchent le sol, Grazzie éclaircit sa voix avant de dire d'une voix calme et limpide.

Grazzie - "Monsieur Falcone serait enchanté de vous rencontrer, monsieur le flic."

Les mercenaires rejoignaient Grazzie et le flic, et ils sortent de l'entrepôt. Un des mercenaires s'autorise un cigare pour fêter ce travail accompli, et avec le briquet, il le lâche dans les produits renversés, le feu va se propager dans tout le bâtiment. Le feu purificateur va détruire chaque parcelle, chaque indice, chaque cadavre, chaque empreinte, rien ne subsistera. Si Gotham doit sombrer dans les flammes, alors Alberto Falcone fera ce qu'il faudra pour reprendre ce qui lui appartient de droit. Mais nous n'en sommes pas encore là, pour le moment, nous avons le cas d'un policier à gérer. Toujours en train de fumer ma clope, je regarde Grazzie et les mercenaires venir vers moi, avec leur nouvel ami, bien en joue. Nous allions discuter, calmement, sans soucis, comme nous l'avons toujours fait avec nos amis de la police. Après tout, le GCPD a pendant très longtemps, été un des jouets préférés de mon père, du temps où Gillian Loeb était le flic en chef, et pendant que Branden gérait le SWAT. Un temps lointain hélas. D'un sourire, je me retourne vers la petite assemblée, écrasant sous ma chaussure la cigarette que je viens de finir.

"Buena sera, cher invité. Veuillez excuser le désordre de ce soir, mais si Grazzie vous a mené à moi, c'est que vous avez une certaine importance dans ce qui s'est passé ici. Je suis Alberto Falcone, dernier survivant de la famille Falcone. Et à qui ai-je l'honneur ?"
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MessageSujet: Re: Il pleut sur la ville   Il pleut sur la ville EmptyVen 15 Jan - 0:08

L'air empestait les produits chimiques, le tabac , l'humidité et la peur. Jackson savait que dans la plus part des circonstances tendues, il suffisait de se montrer plus déterminé que le gugus d'en face, l'instinct de survie faisait le reste. La plus grande part des gens ont peur d'avoir mal ou de mourir. Lui il avais appris à se servir des ses émotions, qui cumulées à l'adrénaline donnaient un mélange détonnant.
Alors qu'il tenais en joue les petites frappes, encore éberluées par son irruption, l'enfer se déchaîna dans toute la pièce. Cinq hommes avaient pénétrés dans la pièce, et tiraient à tout va.
le détective connu alors un de ces moments qu'il appréciait au plus haut point. L'adrénaline gorgea son organisme, et le temps sembla se ralentir pour lui. Il pouvais voir l'intégralité de la scène, avec une précision et un nombre de détails qui aurait fait passer la meilleur réalisation tridvideo pour une mauvaise blague.
Jackson contempla les membres du gang, tomber les uns après les autres fauchés par les rafales précise des type cagoulés. Un sixième membre du commando l'avait très rapidement rejoint, et le braquait avec un gros calibre.
Au fond de son esprit une petite voix lui hurlait de partir, fuir a toute jambe, se mettre à l’abri. Mais Jackson ne pouvait détaché ses yeux de se spectacle de destruction qui faisait bouillir son sang. Là il se sentait vraiment vivant, c'était pour ses moments là qu'il arpentais les rues. Oui il adorait tout casser, sentir ce chaos d'émotion qui s’entre choc dans son cœur, dans ces cas il lui semblais entendre le cœur énorme de la ville de Gotham battre, de plus en plus vite comme si il s'affolait.
Le tumulte s'arrêta presque aussi vite qu'il avait commencé.
Le gorille toujours planté devant lui, lâcha :

- Grazzie - "Monsieur Falcone serait enchanté de vous rencontrer, monsieur le flic."

Posément ignorant presque le type en face de lui, Mac Cohan rengaina son 44, et d'un mouvement fluide, se dirigea vers la sortie.

Jackson s'avança jusqu'au type qui devais être l'instigateur du massacre. Un type assez jeune, bien habillé, brun le regard dur.

"Buena sera, cher invité. Veuillez excuser le désordre de ce soir, mais si Grazzie vous a mené à moi, c'est que vous avez une certaine importance dans ce qui s'est passé ici. Je suis Alberto Falcone, dernier survivant de la famille Falcone. Et à qui ai-je l'honneur ?"

Jackson senti une nouvelle fois la peur, l'adrénaline et sa rage se répandre dans son sang. Mais l'expérience lui avait appris que la peur peut être manipuler selon les situations. Dans certains cas il vaut mieux la montrer, dans d'autre il est juste impératif de ne pas la montrer sans quoi, tu crèves point final.
Sans se presser, le détective rajusta son chapeau, sortis clope et briquet de sa poche. Il ne prêta aucune attention au cliquetis des flingues dans son dos lorsqu'il ressortis le tout. Tout en  recrachant un lourd panache de fumée, il s'adressa à son interlocuteur :

-" Don Falcone ... bonsoir, " il tendis la main " Détective Mac Cohan, j'étais sur la piste des ces abrutis, mais comme vous avez pu le voir un de ces débiles congénital à fait une fausse manip, et FROUTCH tout flambe. Sérieusement les pti cons z'ont aucun respect pour rien, je vais me taper encore plus de paperasse... Pour rien, encore si j'avais pu les arrêter, au moins quelques uns mais bon. Ainsi va la vie. Ah et si vous pouviez dire à vos babouins derrière moi de ranger leurs joujoux, ce serait bien, quand on me braque j'ai tendance à devenir nerveux."
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MessageSujet: Re: Il pleut sur la ville   Il pleut sur la ville EmptySam 16 Jan - 18:07

D'un regard, mes hommes comprennent que les armes peuvent être rangées. Je ne serre pas la main de ce ... Détective. Pour tout dire, je ne faisais pas confiance aux flics, et tant qu'ils étaient loin de moi, tout se passait pour le mieux. La brise est calme, mais le vent est gonflé par la pluie qui commence à couler et dont l'eau commence à ruisseler dans mes cheveux. C'est pas si désagréable, comme je me le dis bien souvent, c'est uniquement par pensée personnelle que j'estime que la pluie est une formidable alliée, qui nettoie le corps et l'esprit, qui nettoie les ruelles de la merde qui s'échappe de Gotham City. J'étais en bonne position, en excellente position de dominer cette ville à nouveau. De ce que je sais, Roman Sionis et Cobblepot ont décidé de se laisser "vivre" et de ne plus trop s'en tenir aux travaux dans la Pègre pour le moment, aucun problème pour moi, cela me permettra de reprendre du poil de la bête et de réaffirmer ma légitimité à reprendre cette ville en main. Peut-être devrais-je penser à devenir maire de Gotham City ? Après tout, la ville et les hautes autorités aimaient bien les jeunes têtes pleines de promesses et d'ambition. Et puis, cela ferait une belle publicité : "Le Méchant Falcone repenti." Cela sonne plutôt bien non ? Et puis, cela pouvait être une bonne manière de reprendre vengeance sur une ville qui a pissé sur notre héritage. Mon geste de la main se fait comprendre, et Grazie et les cinq mercenaires baissent leurs armes, mais ça ne les empêchent pas de surveiller les mouvements de ce petit flic qui s'était ironiquement mis dans la merde. Quand on commence à s'immiscer dans les affaires d'un Falcone, les choses peuvent devenir mauvaises, surtout quand on est contre l'empire du Romain.

"Je ne vous serre pas la main, vous m'excuserez. Batman m'a brisé les doigts il y'a de nombreuses années, et je ressens encore quelques douleurs quand la brise devient fraiche."


Grazzie s'interposa et demande si je vais bien. Bien sur que je vais bien, j'ai juste quelques rhumatismes et l'air casse un peu les os qui ont subit une véritable reconstruction à l'asile d'Arkham. Je n'ai jamais pardonné à Batman cette erreur, cette monstruosité, et je lui ferai payer, un jour où l'autre. Tout est une question de patience, car comme le dit le proverbe : La vengeance est un plat qui se mange froid. Glacial surtout. Le Batman, un ennemi de taille, il n'avait pas sauvé mon père, il avait laissé Harvey Dent abattre mon père, comme un chien, et cette ordure s'en était sortie avec la carte de la folie. Une monstrueuse blague en quelque sorte. Alors que le flic semblait s'empêtrer dans un blabla digne du pire détective du monde, je le regarde avant de m'allumer une cigarette, je lui en propose, qu'il accepte ou non, je m'en fichais. Il n'avait rien, aucune preuve, et il n'avait que ses yeux pour témoigner. Même s'il venait à parler de moi, il n'avait rien, rien du tout, et s'en prendre à Alberto Falcone, en ces temps difficiles pour les flics de la ville, c'était un peu comme chasser le dahu.

"Je serai bref avec vous, détective. Vous savez que Gotham City a besoin d'un changement dans sa politique. Vous le savez tout comme moi, les justiciers sont dépassés, et ils sont responsables de ce qui s'est déroulé il y'a cinq ans. Qu'est-ce que qui serait plus souhaitable ? Une criminalité folle digne des pires patients de l'asile ? Ou une collaboration avec un organisme criminel plus sérieux, qui est capable de réguler les monstres de foire qui assassinent dans les rues. Nous, contrairement à eux, nous avons une éthique, un code de l'honneur. Nous ne tuons pas les femmes, ni les enfants, nous agissons par la Cosa Nostra, pour la Cosa Nostra. Et nous aimerions que vous concentriez vos efforts sur les pires psychopathes de cette ville. Laissez-moi la charge de mes adversaires et vous verrez, tout le monde aura son compte."


Ne jamais toucher les femmes et les enfants, c'était un des principes des Familles que l'on devait honorer. Bien sur, si une femme vous tient en joue, il fallait utiliser ses charmes, sinon, il fallait la tuer avec les épines d'une rose. Si belles, et si mortelles parfois sont ces créatures féminines. Je ne savais pas ce qu'allait décider ce jeune flic. Une chose était certaine, jouer à l'imbécile ne lui serait d'aucun secours. On ne se moque pas d'un Falcone, certainement pas. De toutes façons, le GCPD était dépassé. Qu'allait-il se passer maintenant que Gordon les traquaient ? Moins de suspicions de corruption, moins de flics honnêtes dans les rangs, et de plus en plus de magouilles avec les pouvoirs de nouveau émergents dans la ville. Et l'empire que j'allais à nouveau installer serait en passe de reprendre le flambeau en terme de justice sociale auprès des citoyens.

"Que souhaitez-vous réellement pour cette ville, détective ? Personne n'est tout blanc, personne n'est tout noir. Ce n'est qu'une question d'actes."

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